Veranstaltungsberichte
Pour aborder cette thématique, la Fondation Konrad Adenauer et son partenaire le cabinet Conseil Formation & développement ont convié, le 15 mai 2019 à Alger, à une soirée ramadanesque-débat intitulée « liberté religieuses et influences sociales » des invités, de plusieurs profils, entre universitaires, experts, religieux, acteurs économiques et cadres associatifs, de différentes générations.
La soirée, qui a duré jusqu’à une heure tardive, a approché la question de la religion en tant que concept que définissent les livres saints dans son inimitabilité et son inaccessibilité et en tant que pratique sur laquelle influent toutes les conditions sociales et économiques.
Les experts ont débattu de son utilisation pour asseoir des pouvoirs, orienter l’économie, définir un système de classes ou un mode de gouvernance. Ils ont aussi présenté les dangers auxquels sont exposées les libertés individuelles dans un système politique qui transforme la parole sainte en crédos ou en directives rigidifiées pour corriger le comportement des individus et les juger en conséquence.
Ce thème, par son étendue, son enchevêtrement et sa multiplication, a été attendu et apprécié par l’assistance, qui en a discuté les détails et soulevé d’autres sujets secondaires qui l’intéressait et méritaient débats et éclaircissement. Dans l’impossibilité d’exposer tant de contenus en si peu de temps, d’autres rendez-vous ont été convenus pour enrichir l’information, alimenter la discussion et parvenir à exposer la question d’un projet de société dans ce pays qui, depuis quelques mois déjà, cherche une voie de salut pour un avenir où la religion sera un moteur de relance et non un frein à son économie.
Pour aborder cette thématique, la Fondation Konrad Adenauer et son partenaire le cabinet Conseil Formation &développement ont convié, le 15 mai 2019 à Alger, à une soirée ramadanesque-débat intitulée « liberté religieuses et influences sociales » des invités, de plusieurs profils, entre universitaires, experts, religieux, acteurs économiques et cadres associatifs, de différentes générations.
La soirée, qui a duré jusqu’à une heure tardive, a approché la question de la religion en tant que concept que définissent les livres saints dans son inimitabilité et son inaccessibilité et en tant que pratique sur laquelle influent toutes les conditions sociales et économiques.
Les experts ont débattu de son utilisation pour asseoir des pouvoirs, orienter l’économie, définir un système de classes ou un mode de gouvernance. Ils ont aussi présenté les dangers auxquels sont exposées les libertés individuelles dans un système politique qui transforme la parole sainte en crédos ou en directives rigidifiées pour corriger le comportement des individus et les juger en conséquence.
Ce thème, par son étendue, son enchevêtrement et sa multiplication, a été attendu et apprécié par l’assistance, qui en a discuté les détails et soulevé d’autres sujets secondaires qui l’intéressait et méritaient débats et éclaircissement. Dans l’impossibilité d’exposer tant de contenus en si peu de temps, d’autres rendez-vous ont été convenus pour enrichir l’information, alimenter la discussion et parvenir à exposer la question d’un projet de société dans ce pays qui, depuis quelques mois déjà, cherche une voie de salut pour un avenir où la religion sera un moteur de relance et non un frein à son économie.