Comptes-rendus d'événement
Pour la première journée, l’objectif était de renforcer la dynamique de groupe tout en assurant que tous les 25 participants soient au même niveau d’information. Par conséquent, les formateurs ont alternés des jeux de groupe avec des sessions d’information ainsi que des vidéos courts.
Après avoir élaboré d’une manière plutôt générale sur les questions clés des droits de l’Homme, la sécurité humaine et le rôle du citoyen, les participants se sont livrés à la responsabilité journalistique envers les citoyens. Dans ce cadre, les participants ont décomposé la couverture médiatique concernant l’hostilité vis-à-vis la démocratie, la torture de même que les « Fake-news ». De surcroît, les jeunes ont élaboré de techniques en groupe pour distinguer entre les canulars et les vrais rapports. L’après-midi, ils pouvaient appliquer ces nouvelles compétences dans la pratique. En format de groupe, ils ont développé des débats télévisés, vidéos ou médias facebook au sein desquelles les droits de l’Homme et la sécurité humaine ont été des sujets promus.
Les groups ont présenté ses formats dimanche matin. À la suite, les instructeurs ont montré, à l’exemple de plusieurs études de cas, comment l’individu peut-il influencer seul l’aménagement des médias en Tunisie.
Avant que les participants procèdent à l’évaluation, ils ont conçu des projets concrêts à réaliser au cours de l’année. Le journal de citoyens « Siccamag » du Kef, fondé en 2016 avec une édition multipliée depuis, les a servi comme exemple.
Dans l’ensemble, l’atelier était un véritable succès vu que les participants visent à continuer leurs nouveaux projets pour qu’ils puissent améliorer la qualité du journalisme dans leurs communes et promouvoir les droits de l’Homme, une couverture médiatique neutre et la responsabilité civique.
Thèmes
Kinderarmut: Ursachen, Auswirkungen, Auswege
Verpflichtende Beratung im Schwangerschaftskonflikt
Liberalisierungsansätze auf Grundlage von reproduktiver Selbstbestimmung und ihre möglichen Folgen
Verfassungsrechtliche Grenzen einer Reform der §§ 218 ff. StGB
Selbstbestimmung, Kriminalisierung und Pflichtberatung