Le départ forcé du Président Tandja planait depuis un certain temps après qu'il eut transformé le pays en une démocratie de façade supprimé la limitation de mandat à deux, prorogé son séjour à la tête du pays et perdu le soutien du peuple. Les militaires responsables du putsch ont affirmé vouloir rétablir le plus rapidement possible les rapports démocratiques. (22 Fév. 2010)